En ce jour 10 du blogopote, je vous propose une petite promenade, à la façon d'Yves Montant.
La mienne est beaucoup plus simple. Profitant du temps fort agréable, beau, sec et bien aéré par un vent du sud, Sud-Ouest, j'ai repris mon appareil photos et mon bâton et en avant les histoire, comme le disait le père Castor.
C'en fut déjà une d'histoire que de franchir le chemin chaotique, qui ne s'est pas arrangé tout seul depuis l'autre jour
Mais le vent dans les feuilles me prodiguait son souffle chaud. Des chevaux au loin entamaient une course endiablée
Mais le vent dans les feuilles me prodiguait son souffle chaud. Des chevaux au loin entamaient une course endiablée
J'admirais plus loin, le manège où la Ponette dans quelques heures irait exercer.
Il me fallu descendre la route et remonter par l'autre côté sur le chemin de terre conduisant à l'étang où le soleil se mirait.
Sur le chemin du retour, il était déjà 16 h, le couchant plus trés loin s'amorçait, jouant dans les arbres sa symphonie inachevée.
En bordure du pré de nobles servantes, pâturaient insouciantes, loin du calvaire qui les attendait.
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