Consigne 1 : Une lettre en moins... (Gniark, gniark ! Je me suis bien amusée, pas vous ?...)
Je récidive en vous proposant Sans les O !
Est-ce que cela sera plus facile ?...
A voir ! A tenter !
C'est assez tordu, ce truc, euh, assez bizarre !
Consigne 2 : c'est plus amusant de corser la chose, euh, de compliquer, enfin je veux dire d'épicer le dernier devoir travail avant les vacances !...
Vous écrivez une lettre à votre frère dès votre arrivée en villégiature dans la villa héritée de vos parents. Villa que vous partagez avec lui chaque été, lui en juillet, vous en août... (là, je ne peux pas enlever les o...)
Bien cher frère, je vais venir ici dés le début de la semaine. Il fait beau, il fait chaud et j'ai décidé de t'écrire ces quelques lignes afin de te dire que j'espère que ce ne sera pas pareil que l'an dernier.
J'aimerai bien ne pas ranger tes affaires qui trainent au milieu des pièces à vivre. Mais cela est manifestement te demander la lune car à chacune de mes venues je me décarcasse et je décrasse cette turne que tu laisses délabrée. Je n'en peux plus de cette saleté et de ce dérangement que tu me crée. Et c'est pire depuis que la Jubine est revenue. Elle ne sait pas tenir un intérieur, cette femme ! Tu vas me dire que ce n'est pas de ta faute si elle passe sa vie à faire ses puzzles, pas même un brin de cuisine. Même la tête de veau, elle ne sait pas la faire cuire ! c'est pas difficile quand même ! il suffit d'un peu d'eau claire , de sel, de persil, de thym, de laurier, dans une grande marmite, c'est excellent. Vire la dès que tu peux ! en effet, si cela persiste, je ne viendrais plus et il faudra vendre, car cela ne sert à rien de garder un bien qui ne me permet pas de vivre tranquillement la quiétude de l'été. Et puis en été, il y a bien des plages de sable fin qui m'accueilleraient si je le désirais, d'ailleurs j'ai déjà réservé les vacances futures.
J'ai fait des gelées avec les fruits du jardin, je les emmènerai, les enfants en mangent l'hiver, même au printemps et en été. Les pêches et les prunes mures à satiété me régalent de leur parfum et c'est divin. Mais je ne t'en ai pas gardé, ni fait de marmelades et de pâtes de fruits, cela suffit ! Vu le mal que je prends, quand je viens, il ne faut pas exagérer !
Tu me laisse la clé en partant et ne me demande pas ce que je ferai de tes affaires, si tu ne les ranges pas, je te préviens. La déchèterie n'est fermée qu'en septembre, tu te démerderas.
Ah, aussi : j'ai déjà mélangé les pièces des puzzles de madame, l'an dernier. Je les avais ramassées par terre évidemment ! Et tu sais ce que j'en ai fait ? Je les ai rassemblées dans un même paquet. Elle n' aura qu'à les trier si elle veux, ça lui passera le temps, puisqu'elle ne fait rien quand même ! J'ai même décidé de l'avancer en faisant un peu de ménage et d'essuyer les meubles et le par terre avec un de ses tabliers, qui trainent, aussi, bien sûr. Quant à ses strings, je vais les entasser dans la cabane des gallinacées ! Elle n'aura qu'à aller les récupérer si ça lui chante, elle qui en a peur ! Ah et puis tu lui diras aussi de ramasser ses bas qui trainent en haut,