Inclusivité.

 Le musée des Beaux-Arts de Nancy expose cette toile d’Émile Friant.

Cette interprétation domestique de « La naissance de Vénus » semble dévolue, au premier abord, à la stimulation d’un amant peu assidu.
Seulement voilà, j’ai vu quelque chose dans cette toile qui m’a amené à me poser des questions.
De moi, je suppose que ça ne vous étonne pas…
Encore que non, n’allez pas penser à des histoires de galipettes, non, pas du tout.
Mais vous ?
Qu’y voyez-vous ?
Ce que j'y vois ? Une belle rousse bien ficelée  à qui j'emprunterai        bien la recette de sa beauté. Quand on a un peu de cholestérol, de diabète et beaucoup de trop de kilos, à part se priver de tout, pour tendre vers, il n'y a guère de miracle ! 

Par contre, je n'ai rien contre le fait  de pouvoir admirer, non pas Vénus, mais Apollon dans la même tenue, mais j'ai bien peur que cela ne soit pas prêt d'arriver ! et c'est dommage, parce qu'à l'heure où on veut tout féminiser, nous en sommes toujours à réclamer, nous les femmes, les mêmes droits que les hommes et pour vous, messieurs, les mêmes devoirs que les femmes.
 Il serait donc bien qu'on se pose les bonnes questions à ce sujet et qu'on ne se contente pas d'ajouter un e par ci par là quitte à se ridiculiser davantage. 
Quand des édiles poussent la plaisanterie jusqu'à changer le nom de leur ville par exemple.  
Quand l'égalité consiste seulement à ajouter une parenthèse à la fin d'un mot , des ils (elles) à chaque fois lors d'une phrase. 
Quand lors d'une conférence, c'est toujours lui qui parle et jamais elle, alors qu'elle aurait autant sinon plus de choses à dire. 
Quand les pubs à la télé ne parleront plus de protections contre les fuites urinaires pour les dames et  dans le même temps de régime minceur pour ressembler à Adriana Karembeu pour les messieurs.
On nous prend vraiment pour des buses !
 Par contre ,si l'inclusivité valait aussi pour l'égalité des salaires et des retraites et si elle valait aussi pour le partage des tâches, on serait ravies !

Je venais d'avoir 18 ans.

 Et vous ? vous rappelez-vous vos 18 ans ?

"Où étiez-vous ? avec qui les avez-vous fêtés ?

Quels étaient vos rêves, vos projets, vos envies ? Les avez-vous réalisés ?"

 C'est en ces termes qu'Ambre nos lance ce petit défi. Celui de nous remémorer si longtemps aprés un épisode de notre jeunesse, parfois si bien enfoui qu'il s'en est enfuit. 

Les miens, si mes calculs sont bons, remontent à l'année 1970.

Que se passait il cette année là ? Quels souvenirs en ai je gardé ? Quels étaient mes rêves ? Mes projets ? Mes envies ? 

 Sans doutes je rêvais du prince charmant, un grand brun aux yeux marrons, ayant fière allure, un regard doux, des bras musclés, en bon sportif qu'il était. 

Sans doute je l'imaginais plein de douceur et de délicatesse, protecteur, rassurant et plein d'entrain. Surement qu'il l'était d'ailleurs et mes envies , mon envie étaient de le rencontrer. Pour cela j'avais imaginais des stratagèmes à plusieurs dimensions, mais il me fallait mettre dans mes projets de partir loin de la maison et de travailler. Cela attendrait  bien, puisque je n'avais pas encore terminé mes études mais dès  que je trouverais du travail, pas loin d'où je risquais de le trouver, c'est à dire dans la plus grande des villes que je connaisse, je partirai, de plus à la maison, la place   était réduite. 

Nous étions 9 bouches à nous nourrir sur une toute petite exploitation familiale de 5 ha avec deux ou trois de plus que mon père travaillait à la moitié, ce qui nous permettait un petit troupeau d'une huitaine de têtes, à cornes les têtes, quelques volailles, deux ou trois cochons dont un garnirait d'ici la fin de l'année, le saloir et le pot de gré  et quelques lapins. Ma mère faisait un petit jardin, où deux groseillers donnaient de quoi faire quelques pots de confitures pour accompagner les fromages, tiraient du lait de nos vaches. Bon an mal an, nous cultivions un peu de céréales, des choux, des raves et des pommes de terre. 

Mes petites soeurs allaient à l'école, les dernières, dont la plus petite entrerait en primaire à l'automne avaient encore du temps, celui de l'enfance et leurs soucis étaient surement d'écouter Mike Brant, Jhonny, ou Patrick Juvet, en chantant à tue tête ou en faisant  des niches* aux voisins, particulièrement à ce trop de Roger, ou à sa mère la Francine. 

Les niches ce sont des farces plus ou moins drôles dans le patois de notre région et contrairement à nous les deux grandes, qui avions de quoi nous occuper, ne serait ce que pour les surveiller ; les filles  aimaient bien se distinguer par des facéties plus ou moins douteuses... 

Mon père sa journée terminée, se rendait parfois à une réunion. Elu municipal, il se rendait souvent en mairie, mais se plaignait beaucoup de ne pas être entendu par l'équipe dirigée par un maire  de peu d'ambition. Il était aussi délégué cantonal pour la mutualité agricole. 

Quand il revenait de ces réunions, parfois fort tard, nous avions déjà ma mère et nous, terminé la traite du soir. Je me souviens que ma mère s'inquiétait beaucoup. Tant de l'état dans lequel il arriverait, que de l'heure à laquelle il reviendrait. "Pourvu qu'il ne lui soit rien arrivé"  était son  leitmotiv.

 Lorsqu'il franchissait le seuil de la maison, nous savions tout de suite à quoi nous devions nous attendre. Était il de bonne humeur, et nous aurions droit à quelques confidences émaillées de traits d'humour ( dont la subtilité nous échappait parfois). Était il d'humeur maussade, nous n'avions pas intérêt à la ramener, ni à faire du bruit, parce que cela tombait et pas toujours à côté " Yu vé prindre lo brancho" disait il en patois et nous savions alors parfaitement à quoi nous en tenir.

Pendant les vacances, j'allais garder, ou bien j'allais aux champs suivant l'ordre des saisons, suivant la nature des travaux. Le monde qui m'entourait était plein d'espoirs qui s'éloignaient à chaque pas en avant que je faisais. L'aprés 68  ne se révélait pas si engageant qu'il avait été permis de le penser...  (à suivre)







Beau tout simplement.

 


Images du net
Plus de 20 000 personnes selon la presse, à Limoges, les organisations syndicales en estiment prés de 30 000, mais au delà de la bataille des chiffres, la rue était bien pleine, un peu partout en France. Les autorités en  reconnaissent 1 120 000 contre plus de 2 000 000  selon les organisateurs. Ce n'est pas rien. Ici, nous avons marché deux heures, c'est sous les premiers flocons de neige que nous sommes parvenus au terme de la balade. Lorsque nous avons remonté le cours du cortège, les premiers étaient déjà partis, que les derniers n'arrivaient pas encore. En queue de manif, un long cortège de camions rouges, tous feux alumés et sirène en marche, ils étaient motivés nos pompiers !
C'était, comment dire ? Beau, tout simplement beau. J'ai regretté de n'avoir pas pris mon appareil photo !

Beau de la foule en cortège, beau des drapeaux qui flottent au son de musique et chansons engagées. Beau des slogans propres à chacun, plein d'humour et plein de détermination. 

Il ne faut pas avoir d'oreille pour ne pas entendre ces cris. Il ne faut pas avoir ni de mémoire, ni de conscience pour rester impassible et droit dans ses bottes. Ces bottes qui écrasent tous  ceux qui ne réclament qu'un peu, un tout petit peu de l'énorme gâteau qu'ils ont contribué à élaborer. Pas avoir de coeur non plus pour rester insensible aux cris d'un peuple qui ne vit plus. 

Ici on recommence samedi, je prendrais mon appareil photo cette fois !

En avant !

 Allez, les amis, c'est parti on va retrouver les autres, c'est à 14 h place des Luttes ! la marche du siècle est amorcée.

En marche pour une renaissance

 Goutes d bonheur ? Mais où sont elles ? Je ne trouve ce matin que des goutes de neige fondue. Bon c'est quand même ça. 

Hier visite de néphrologie, comme tous les deux ans. Munie des résultats et du bilan d'analyses médicales long de 6 pages, pas moins, je m'en vais tranquille et confiante. Certains résultats sont un peu hauts sans m'alarmer davantage. Chez moi, ça monte et ça descend facilement comme du côté de mes chères origines où on a plus vite englouti une tranche de jambon ou un morceau de fromage qu'une potion magique de chez Adriana. Bref, vu l'heure tardive de ma visite, peu de monde et stationnement hyper facile aux abords de l'hôpital. C'est toujours bon à prendre. J'attends quand même une bonne demie heure avant d'entrer dans le bureau de la praticienne. Interrogatoire, contrôle du bilan et comparaison, ah, tiens, les résultats ne sont pas... pas autant, pas aussi moins bons que je croyais ? Ah !  Ah ben oui, du sucre, du sel, de l'acide urique, des carences en Vit D, le cholestérol a un peu baissé, mais encore haut,  la ferritine aussi, et la tension ? Aloors là, j'en tombe à la renverse en entendant le chiffre ! Put.. de M... Va falloir faire quéque chose...et pour commencer, privée de beurre de chocolat de sucre, de patisserie par conséquent, de plats bien cuisinés, de toutes mes bonnes pates de fruits, d'appéro, de Tarani, rouge, blanc, ou rosé ;  de pineau de chez Bossis, de chocolat de chez Lautrec etc, voilà qu'en plus je vais devoir me priver de jambon sec, de fromage de mes montagnes et du peu de pain que j'avais encore le droit d'accompagner de mes deux petites cuillers de confiture maison, du matin ! Bon, qu'est ce que je fais, je saute maintenant ou j'attends encore un peu ? 

 Par contre, je vais devoir marcher, marcher, marche... sous la pluie, dans le vent, dans la tempête sous le soleil de satan, bref, par tous les temps, avec ma bouteille de Volvic sous le bras.

 Bon aller, j'y vais ! En marche pour une renaissance.

Des goutes de bonheur.

 Hier, je vous ai laissé un peu en plan avec mon devoir du lundi, que j'ai fait en catimini d'ailleurs. Vous disant aussi  que je postais et viendrai lire plus tard. Manque de temps, ? Ou choses moins joyeuses ? Vous êtes vous dit. Alors voilà la réponse. Mais avant bravo pour vos textes que j'ai lu ce matin. Cela m'a pris la matinée, mais je ne le regrette pas. Vous ne manquez pas d'imagination et c'est bien. Je trouve qu'on manque de distraction sur la toile depuis quelques temps. Les devoirs du lundi ont le mérite de maintenir du lien, et c'est bien. Peut être devrions nous dans la mesure de nos possibilités, réfléchir à proposer nous aussi  quelques exercices ? J'y pense parfois, mais mon imaginaire stérile demeure prédominant, et tout s'arrête avant d'avoir même commencer. Bon alors, la vraie réponse à ma précipitation de ce lundi, et bien c'est que j'ai passé ma journée avec d'anciens camarades de route et ce fut bien agréable. Une renaissance en somme, comme celle de la veille où j'ai retrouvé le plaisir des salles de ciné depuis bien trois ans qu'elles étaient sorties de mon paysage. 

Il faut vraiment que je ressorte de ma coquille  et que je me réhabitue à un peu d'activité. Parce que c'est bien de tricoter devant la télé comme une mémé que je ne serai sans doute jamais, mais, l'esprit s'encroute, les jambes se rouillent les muscles s'atrophient et c'est bon ni pour le moral ni pour le physique. 

Alors comme une résolution que je ne tiendrai sans doute pas, je vais faire en sorte de pimenter mon quotidien. Je vais me réinscrire et m'investir dans une activité de mémoire. J'aime l'histoire, j'aime découvrir le passé pour mieux appréhender l'avenir, tout au moins essayer de  comprendre le présent. Quelques efforts, quelques bons potes et ça devrait le faire. Je vais dire non à la morosité ambiante. 

SDire non à la morosité, c'est résister. C'est enjoliver le quotidien, c'est se maintenir vif et alerte et quand on est patraque, c'est essayer d'aller mieux, d'aller plus droit et de chercher des goutes de bonheur dans cet amas de larmes dont on nous inonde. Même quand il faut creuser profond. même quand on est submergé par des lames de fond et qu'on croit sombrer dans un abime sans fond. Il faut toujours chercher la lumière et trouver l'énergie de marcher vers elle.




La surprise de Marc.

 Cette toile de Marc Chalme me dit quelque chose.

Elle me rappelle une histoire, triviale certes mais une histoire.
Et à vous ?
J’aimerais que cette histoire commençât par « Mais qu'allait-elle faire là-bas ? ».
J’aimerais aussi qu’elle se terminât aussi par « J’en retirai le soulagement espéré… »
Ne cherchez pas dans votre bibliothèque ou sur Internet, ces deux phrases plates mais courantes sont de votre serviteur.
À lundi j’espère.


Mais qu'allait elle faire là bas ?  Je ne pouvais me détacher de cette question en la voyant franchir le seuil de la maison, pieds nus. Tout son barda posé là sur le guéridon dans l'entrée, prés de sa tasse de café, à peine terminée, ne présageait guère  d'une longue balade au fond du parc et encore moins d'un tour dans le bosquet où les épineux côtoient les serpents à sornette et autres venimeux de tous poils.
La pensée qu'elle allait retrouver là bas, l'un d'eux me taraudait l'esprit au point de faire naître en moi  un soupçon de jalousie.
Je l'imaginais se vautrer sur la mousse dans les bras de je ne sais quel familier du grand bois. Faire des galipettes avec n'importe quel autre que moi , je pouvais le concevoir uniquement pour mettre un peu de piment dans nos relations amoureuses, mais pour de bon, ça non, alors ! 
 Pourtant, rien ne me laissait  présager du pire. Tout dans son attitude quotidienne, dans ses rapports avec moi, semblait être normal et aller pour le mieux. Alors pourquoi tant de précautions pour que je ne remarque pas sa sortie ? 
Ou alors, finaude, elle cachait si bien son jeu. 
 Sans avoir l'air de rien, je la regardais se faufiler à pas feutrés jusqu'à l'orée du bosquet

Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle en ressortit tenant dans ses bras, une jolie petite boule de poils. Lorsqu'elle fut plus prés de mon champ de vision, j'apperçu une petite queue touffue dépasser sous son bras. Tien, me dis-je, elle a trouvé un renard, mais que veut elle en faire ? 
 Ce n'est qu'arrivée dans la pièce principale que je la vis déposer délicatement le chaton sur le sofa.

 « J’en retirai le soulagement espéré… »

Dansons maintenant.

Alors ? Ce 2023 ? Déjà 2022... oups  ! pas bien fini le pauvre ! Est ce de sa faute ? Ou de la notre ? Peut être n'avons nous pas fait ce qui était en notre pouvoir en temps voulu et le regrettons maintenant. Enfin pour ce pourquoi nous avions la main. Souvenez vous, il n'y eut pas que des mois de novembre cette année. Il y a eu aussi des mois d'avril mai et juin. Et là ? Vous croyez vraiment que si on avait voulu, on ne pouvait vraiment rien ? Pas obligé de se faire beaucoup d'illusions, il suffisait de ne pas rester chez soi et de ne pas avoir la main trop malheureuse. Mais ça ! quand il manque le nécessaire, voir l'indispensable, hein. 

Et bien dansons maintenant. Dans la rue, bien sûr. Puisqu'il y en a encore la possibilité et qu'avec la réforme  des retraites telle qu'annoncée, nous avons là une bonne occasion de nous retrouver, tous ensemble, ouais !

Une chose m'inquiète tout de même, combien resteront quand même à la maison ? Vu que cette réforme est  présentée par les média et ses promoteurs, naturellement, comme si elle était déjà effective et que tout tourne autour du fait accompli. La rue fait elle peur à ce point ? Inquiète, aussi de savoir si le mécontentement qui s'y exprimera, trouvera le même écho et le même accueil que celui des patrons de  laboratoire, qui viennent de se voir satisfaits d'un accord, ou celui des médecins libéraux qui revendiquent sans état d'âme, une augmentation de 100%  de leurs tarification à l'acte. On est loin des 5% refusés aux salariés des plate formes pétrolières, des problèmes des contrôleurs de la Sncf, et autres salariés qui se battent pour leur pouvoir d'achat, là ! Pourtant !

 


Bonne année

 Malgré tout, car si on ne se souhaite pas du bon, personne ne le fera. Il ne faut compter que sur soi même pour ça. 

Sinon, vous ? 

Comment vous allez ce matin, gris et pluvieux, chez moi ? 

Qu'aimeriez vous qui fasse plaisir et qui puisse être réalisable pour vous par ceux qui vous veulent du bien ? 

Avez vous passé de bonnes fêtes au moins ? 

 La reprise pour ceux qui reprennent le collier, ne fut pas trop dure ? 

Et pour ceux qui n'ont pas de collier, avez vous des occupations qui vous enchantent ? 

Maintenant que j'ai fait ma curieuse, je vous dis deux mots si vous voulez bien. 

Donc ici il fait gris et morose en vrai. Je comptais sur une journée comme celle d'hier pour faire des mises à jour parmi les lessives, bon comme dirait Ambre, c'est pas ça qui va m'arrêter, moi qui ai l'habitude de mettre à sécher mon linge dehors , quand il pleut. 

 Mon grand reprend la route cet aprés midi, je sais qu'il ne pleuvra pas que dehors et que la pluie intérieure sera au rendez vous. C'est tout le temps comme ça depuis .... des temps que les moins de 20 ans ne connaissent pas. 

 La maison se vide, il faut reremplir le frigo et pas que, la tête aussi. 

Le temps passe et on ne le voit pas. 

Je n'ai pas de nouvelles réjouissantes des uns et des autres qui trainent leur misère comme des fardeaux lourds qu'ils ne peuvent pas tirer tout seul. 

L'un est  parti en Australie, sans rien, comme ça à l'aventure. Sa mère, la pauvre, qui ne le voyait pas bien souvent et fait partie des mal portants n'a pas fini de se faire du mauvais sang.

Tout comme celles de ceux qui sont malade et pour lesquels peu d'issues se profilent à l'hirizon. 

Tout comme   celles et ceux qui sont malade eux mêmes et voudraient bien un peu de répit et de soulagement aussi. 

Tout comme celles et ceux qui sont tristes et ont bien des raisons de l'être tout en sa    chant que tout s'estompe mais pas toujours si vite et qu'il faudra du temps. 

Alors je ne vais pas en rajouter à ce tableau familial déjà bien chargé, en vous disant mes craintes et mes chagrins.  Il y a pire. Si seulement je pouvais faire quelque chose pour soulager !

Par contre à tous, à vous tous, je peux souhaiter le meilleur qui puisse et surtout prenez soin de vous et de tous ceux que vous aimez. 








Il était une fois.