J'ai supprimé l'article que j'avais écrit mardi soir, tard dans la nuit. Presque mercredi.
Je remets juste les images. pas les paroles. J'avais deux commentaires, j'ai expliqué aux commentatrices pourquoi je le supprimais.
Praline me disait
"Tristesse d'avoir perdu nos êtres chers, joie de les avoir connus.
Emouvant récit où se déroule tout ce vécu tellement difficile.Samedi cela fera 23 ans que mon mari m'a laissée seule sur le bord du chemin, il va falloir que j'organise cette journée pour ne pas sombrer...
Gros bisous ma Delia "
Heure Bleue me disait
"Tu racontes le chagrin avec malgré tout de l'espoir, c'est vrai tant qu'on passe à son disparu, il est encore un peu là."
Je les remercie bien sûr.
Puis Praline est revenue me dire "Dommage que tu aies supprimé ton dernier billet"
Je me suis dit, ouais, je vais remettre les photos, mais que les photos.
Il s'agit d'une petite rétrospective de toutes ces années. De ces endroits où je me trouvais entre le 18 et le 22 avril.
En 2011, le 18, on était là
et le 22 on était ici. Dans le ciel du couchant, une silhouette se dessinait, planant au dessus de nous comme pour dire adieu à tout ce qui l'avait entouré...
La glycine de mon jardin le 18 avril 2020 nous étions confinés, impossible d'aller trés loin. En tout cas, pas jusqu'en Auvergne.
La reine du jardin toujours le 18
Le Petit Lion toujours en 2020, le 19
Sur les chemins du Limousin en 2021
En 2023, le soir du 18, il est 20h, le soleil va bientôt se coucher, je pense à ce que je vais écrire.
Et aujourd'hui 20 , hier elle n'était pas encore ouverte. Le jardin est trés en retard cette année.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire