Ne vous fiez pas à cette ambiance de roman d’espionnage des années cinquante.
Il s’agit de tout autre chose, Mark Keller a plutôt orienté son œuvre vers un autre domaine.
Cette toile me fait penser à quelque chose.
Et à vous ?
On en saura plus lundi du moins je l’espère…
C'est si facile à dire. Allez le faire, vous, quand vous êtes aveuglé par tout ce qui vous masque la lumière.
Heureusement je n'étais pas seule, et je remercie bien ceux qui ont saisi la perche que je leur ai tendu, qui ont pris ma main pour me hisser sur le palier. Ceux qui ont pris leur temps pour les grimper ces escaliers afin de faire à ma place ce que je ne pouvais, étant bien trop éloignée, et surtout incapable de me raisonner, de me rassurer et de me désangoisser. Merci à eux et pardon de les avoir inquiétés.
des bises, Delia, on comprend tellement bien ces sentiments...
RépondreSupprimerMerci Adrienne, tout le monde, je pense a ses galères, ses tourments, on n'est pas des robots, on a un coeur et une raison, alors, servons nous en. Bonne journée à toi, je t'embrasse.
Supprimerma petite Délia je te serre dans mes bras
RépondreSupprimerIl y a des moments où il faut savoir déléguer, on ne peut pas être sur tous les fronts !
Je t'embrasse bien amicalement
Merci Ambre, oui, y a des moments comme ça, mais y en a d'autres où c'est pas possible. Alors, il faut choisir les fronts ! je t'embrasse aussi et te dis à bientôt.
SupprimerRelativiser, c'est souvent beaucoup plus facile à dire qu'à appliquer tant les soucis nous semblent insurmontables !
RépondreSupprimerHeureuse que tu aies trouvé du soutien auprès des tiens, toi qui en fais tant pour les autres !
Je t'embrasse fort ma Délia ♥♥♥
Oui, merci, il faut relativiser, mais quand on redoute le pire, cela devient compliqué. Heureusement, il y a les proches et parfois les moins proches. Merci aussi d'être là, tous avec vos mots. Je t'embrasse. Si tu repasses par là, vas voir sur l'autre blog pour la réponse à ta question au sujet du chapeau. Bisous.
SupprimerOn se gardera bien de te sortir les âneries habituelles qui t'enfoncent plus qu'elles ne t'aident, du genre "mais secoue toi !", "fais un effort", "relativise, ça pourrait être pire" et autres "pense un peu aux Ukrainiens" alors qu'on est plein d'angoisse et au fond tu trou.
RépondreSupprimerOn te comprend ma grande et on sait qu'avec l'aide des autres, leur empathie, tu vas te sortir de ce mauvais moment.
L'affection et la solidarité, sont normalement le fondement de la société civilisée.
Bises
Merci et heureusement qu'il y a encore des gens civilisés. Mais il est à craindre que ce monde barbare ne les réduisent au silence et à l'impuissance, tant ils seront eux mêmes pris dans cet engrenage du surpuissant qui domine le moins que lui. Bonne journée à vous deux, je vous embrasse.
SupprimerEt pourquoi n'aurions-nous pas le droit de flancher de temps en temps ? On ne peut pas être héroïque chaque minute du jour ou de la nuit...
RépondreSupprimerNon, pas héroïques, humains tout simplement. Et bien que nous ne soyons pas des machines non plus, on a des baisses de régime voir on tombe en panne aussi. Bonne journée à toi.
RépondreSupprimerMerci Alainx. Tu as raison, il faut raison garder, prendre de la hauteur aussi, si on veut voir plus clair. Le ciel fini toujours par s'éclaircir. Bonne journée à toi.
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