Alors que la fin du mois de mars arrive, impossible de ne pas penser à « April in Paris ».
John Salminen, Ella Fitzgerald et Louis Armstrong nous invitent à regarder la vie.
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Le printemps vous inspire-t-il ?
À Paris ou ailleurs ?
À lundi j’espère.
Avril pareil à mars se déroulait d'un fil. Un long ruban bien coloré, sous la pluie, peu importait. Il fallait à tout prix les arrêter. Ces destructeurs d'humanité. Alors banderoles, drapeaux, vert, rose, rouge, bleu, jaune, orange, violet, blanc, ils y étaient tous. Toutes les couleurs de l'arc en ciel. Tous les chants éternels, de lutte, d'espoir mais de colère et de révolte surtout. Quand la capitale se met à chanter, c'est tout le pays qui vibre et qui renait.
Mais Paris qui bat la mesure, ne mesure pas toujours la portée de ses choix.
Ainsi, la brutalité avec laquelle les décisions s'y prennent. Ainsi la répression qui s'en suit. Ainsi les conséquences des deux premières. Pleuvent les coups. Parlent les armes. Coule le le sang. Se répandent les larmes. Mais Paris a l'habitude, Paris de la prise de la Bastille. Paris de la Commune, de la Libération, des grandes manifestations de toutes les luttes pour la liberté, pour le progrés social, pour les jours heureux et pour les lendemains qui chantent.
Je préfère la République à l'Arc de triomphe, comme je préfère la Bastille à l'Opéra, la Butte Montmartre au Champ de Mars.
J'aime Paris quand elle résiste. J'aime Paris quand elle se bat.
Cela me fait penser à la chanson ! "Paris en colère" !
RépondreSupprimerIl n'y a pas que Paris qui soit en colère...
Je me demande d'ailleurs si la province ne l'est pas encore plus !
Supprimertu me fais penser à un article que je viens de lire, https://diacritik.com/2023/03/27/le-crash-test-du-laboratoire-macron/
RépondreSupprimerbon courage!
C'est sur qu'aprés avoir lu ça, du courage, va en falloir. Pas grave, on en a. Et si notre exemple faisait des émules ?
SupprimerJe note de saines références musicales dans ton devoir, et rien de tel que la musique pour fédérer la révolte nécessaire.
RépondreSupprimerGardons espoir ! Et bravo pour exprimer tes idées aussi clairement. Ça fait du bien. Bises solidaires
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Merci Célestine, pour tes encouragements, car on n'est pas au bout de nos peines avec cette clique de scélérats.
SupprimerÇa fait 234 ans que c'est « la lutte finale »
RépondreSupprimer« ce n'est qu'un début, continuons le combat »
bises espérantes.
Mais, non, la lutte ne peut pas être finale, finalement, parce qu'elle fait partie de la vie et que ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent et comme toujours tout est encore à recommencer, ilne faut pas oublier le passé pour ne pas être condamné à le revivre. Donc on continue.... Merci d'exprimer ta solidarité..
RépondreSupprimerC'est un peu ce que je voulais exprimer, la vie est un combat avec ses luttes et ses victoires. Le passé nous enseigne mais c'est toujours à actualiser, hier, aujourd'hui, demain.
SupprimerJ'arrive en retard, comme le premier carabinier venu.
RépondreSupprimerMais c'est pour te dire qu'à telire, je suis fier d'être un Parisien !
Oui, moi aussi j'aime Paris quand elle se bat.
Même si j'aime l'Opéra et le Louvre, j'aime la République et la Bastille.
J'aimme le Paris de Victor Hugo et celui du baron Haussmann.
Bref, j'aime ton devoir qui me parle si bien.
Bravo Délia, j'aime aussi Paris, j'y suis née, Paris en colère çà me parle, me touche ...que de pavés arpentés lors de manifs...hélas toujours recommencer encore et encore.
RépondreSupprimerMeilleur santé camarade Délia
Bises