Pauvre Flocon.

 Voici un petit écho de chez moi, en lien avec l'article d'Esterina sur sa chatoune. 


Pauvre Flocon a des misères. Sa maitresse n'est pas digne de lui. Ainsi hier, alors qu'il guettait à la fenêtre, tard dans la nuit, je lui ai ouvert pour qu'il puisse rentrer et se restauré. Peu de temps aprés, il s'est mis à pleurer. Je n'ai pas bougé. Habituée que je suis à l'entendre miauler. Ces chats sont infernaux, aussi. Dehors, ils veulent rentrer, dedans ils veulent sortir et ça toute la journée. J'étais pelotonnée sous mon plaid entrain de tricoté, je n'ai pas bougé. Il s'est donc mis à miauler plus fort, puis encore plus fort. Mais je l'ai fâché. Il me dérangeait et je n'avais pas envie de bouger. Ce n'est qu'un moment aprés que je l'ai entendu gratter sa litière. Il voulait simplement que je lui ouvre la porte pour sortir faire ses besoins. Pauvre Flocon ! On n'est pas assez à ton écoute. On devrait s'en inquiéter. Je te demande donc pardon et te promets que je t'écouterai.

3 commentaires:

  1. Vivement l'été, où portes et fenêtres étant ouvertes, ils peuvent aller et venir à leur guise ;)
    La nôtre nous engueule car nous n’accédons pas assez rapidement à ses désirs !
    Je t'embrasse

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  2. trop mignonne ton histoire; j'ai eu peur que ce soit grave ! ;-)
    (de nouveau je ne reçois plus tes messages, quand c'est pas CB qui débloque c'est blogger ! pff
    Bisous les coupines !

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  3. J'ai mis une chatière et ils n'arrêtent pas d'entrer et de sortir

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Misère !