J'aurai bien pris la poudre d'escampette pour aller me balader, mais pluie, froid, vent glacial, dire qu'en février on avait si chaud !
L'autre jour j'ai quand même risqué une promenade, en auto, car impossible de trouver le départ de cette balade dite des bergère. En fait de bergère, j'ai aperçu 4 vaches, les ai prises en photo et suis partie avec mon bâton de pèlerin et ma pèlerine, au milieu des bois, je suis arrivée à une fourche de deux chemins tous deux barrés d'une croix jaune. Comme il n'y avait pas de troisième voie, j'en ai pris un, au hasard, un peu comme quand on vote au deuxième tour, vous voyez ? Mais là, je me suis retrouvée à mon point de départ sans conséquences fâcheuses. C'est toujours ça ! Heureusement. Au retour, j'ai acheté 4 paires de nouvelles chaussettes, deux pyjamas, un long et un court pour le Patou. J'ai rangé tout ça dans son armoire en rentrant et mise en train de retoucher mes photos, qui ne ressemblaient à rien.
Tu as bien fait de prendre ton bâton et ta pèlerine! Tu as bien fait de prendre le chemin! Belle balade!
RépondreSupprimerD'autant qu'il faisait assez froid. Comme aujourd'hui c'était pire, je ne suis pas sortie du tout. Même pour aller prendre mes pivoines en photo, au jardin.
SupprimerJ'ai voulu m'acheter des pivoines hier, elles ne sentaient rien, si les produits chimiques, j'ai laissé le tout.
RépondreSupprimerJe te comprends. Les miennes sentent les abeilles et les papillons, le miel et la pivoine. Je réagi comme toi, quand je ne trouve pas la qualité escomptée, je laisse. Peut être que si on était plus nombreux à marquer nos exigences, on nous proposerait de la qualité ? Nous faisons souvent notre propre tort et le tort tue.
SupprimerAh, je vois que chez toi aussi, il y a des vielles machines agricoles ainsi qu'une vielle charrette qui "pourrissent" tranquillement, comme ce temps de mince... Il a même neigé un peu dans le Cantal et ici, hier, j'ai vu quelques flocons (pas le chat) virevolter.
RépondreSupprimerBonjour Xoulex, toujours un plaisir de te lie ici et ailleurs. Mais ici, il y a quelque chose de particulier : c'est chez moi, et je suis heureuse de t'ouvrir ma porte pour t'offrir un canon comme on le fait chez nous. Oui, des charrettes qui pourrissent par les charires et que les néo ruraux entrepose pour faire genre devant leur vieille ferme restaurée à coup de millions empruntés au crédit agricole ou ailleurs. Ce matériel que nos vieux ont eu toutes les peines à acquérir, à préserver et à entretenir, à coup de flot de sueur et parfois de sang, souvent de larmes. Cela me désole toujours de voir nos racines pourrir sous les intempéries. C'est par respect que je les prends en photo. Temps de m comme tu dis et pas que du aux caprices de la météo. Je ne suis pas sortie ce jour, j'ai gaspillé mon temps à essayer de réorganiser mon espace. La Ponette est allée au salon du livre de Limoges, elle est allée voir Antonin Malroux et m'a acheté son dernier livre. Il lui a dit que l'école de son village natal, dans le Cantal, portait son nom désormais. Depuis 2016. C'est bien. C'est un trés bel auteur.
SupprimerTu n'as pas vu Flocon virevolter ? Il n'est pas trés bon acrobate, mais se défend pour la chasse. C'est un bon taupier. Plume est plus agile, elle n'hésite pas à se lancer à la chasse aux papillons et aux oiseaux. Heureusement, parfois elle les rate !
Les vieilles charrettes ! Mon père savait les fabriquer, entièrement. Char à aiguille, tombereau, remorque à foin, etc. Tout le matériel de la ferme. Moi, j'ai "débuté" en fabriquant ces fameux tabourets de traite à trois pieds, des bancs, une brouette. Et là, la chaise de bureau sur laquelle je suis assis est de ma fabrication. J'ai recyclé une très vielle selle d'une lieuse de marque Américaine, fabriqué Hoosick fall N.Y USA
SupprimerJe rentre d'un pays chaud et la transition thermique est terrible !!
RépondreSupprimerTrop belle ta charrette :-)
Tu m'étonne, déjà ici par rapport aux jours derniers, on sent la différence ! Pour la charrette, dommage, elle va pourrir parce que les gens qui ont le terrain n'en prendront pas soin. Ils sont là occasionnellement. Cela fait son effet devant chez soit ce genre de vieilles reliques d'un passé qu'on n'a pas connu ou alors par aïeux interposés.
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