La balade des moulins.

 Pas beaucoup de temps cette semaine, des balades mais  peu de photos, car souvent les mêmes et aujourd'hui, depuis l'orage d'hier qui ne nécessitait pas pour autant une vigilance orange, il pleut. Et puis il y a les préparatifs pour notre départ à faire. Car ça y est on part. Pas longtemps, juste une petite semaine, mais je ne trainerai pas sur les blogs et ne posterai rien non plus. Donc ne soyez pas surpris, vous mes amis et fidèles lecteurs que mes silences inquiètent. Mais au retour, je vous illuminerai (j'espère) de belles images, alors soyez bien sages !

En attendant je vous propose de marcher un peu en notre compagnie. Donc dimanche, nous avions fait la balade interrompue par les ronces deux jours avant et je vous le disais, pleine de belles surprises. 




La brume matinale n'était pas encore levée, mais elle allait se dissiper bientôt

nous offrant une vue plus dégagée sur la vallée.

Ses colonnes d'hortens(ia)

son pont du (re)gard
son mas provençal
ses Chutes du pont victorien

 ses ânes qui se régalaient.


Son château qui nous accueillait.

Lundi nous avons changé de secteur et avons marché le long de la Vienne toujours, mais à Limoges cette fois. Où nous avons fait une insolite rencontre.


Il était là posé sur le quai du "Poudrier", ancien moulin à farine, au XVI pour être transformé  par Louis XIV,  en moulin royal au XVII où on produisait la  poudre à canon, avant de  devenir tour à tour, fabrique de porcelaine au XVIII, centrale électrique, puis filature et aujourd'hui, un site  où spectacles, séminaires  et réceptions se partagent cet espace sur 4 hectares de verdure entre Limoges et Le Palais sur Vienne. A noter que sur l'autre rive (celle où nous étions) se trouve encore un site propriété de l'armée. 

Je pense d'ailleurs que les bâtiments situés sur la rive opposée, faisaient partie de cet ensemble.


Nous avons bien marché nos 8 km avant de regagner notre pont Saint Etienne que domine la cathédrale inachevée, raison pour laquelle elle est démunie de flèche. 

Hier, retour à Aixe, mais nous avons exploré les bords de l'Aurence, où nous avons pu admirer  cette jolie batisse 


 et cet ancien moulin où l'on se servait de la force motrice de l'eau pour tanner les peaux. Ce moulin nommé "moulin de l'or, nous n'en avons point trouvé et sommes revenus bredouilles, obligés de payer notre pain de nos propres deniers ! 

 
Aujourd'hui, nouvelle exploration, sur les bords de l'Aixette et ses moulins (Aixette qui se jette dans la Vienne à Aixe sur Vienne précisément au niveau de la sortie du pont venant de chez nous pour aller chercher le pain ( dans le sens du courant de la rivière pour le dire autrement.)
Nous avons stationné notre véhicule à moteur devant cette place

car ici, c'était interdit.

 Je vous mets en grand le panneau parce que si vous avez de petits yeux, faute d'avoir une petite voiture, vous ne verrez pas bien.

 (On se demande encore si c'est l'entrée des "majorettes" ? )

Notre balade fut brève mais offrant de jolies  vues. Comme ce demi pont médiéval ? Romain ? Nous ne savons pas. 

celui ci côtoie une passerelle métallique qui enjambe la rivière à cet endroit. Mais celle ci ne peut être utilisée que dans une moitié (sens de la longueur) car présentant des faiblesses selon un arrêté municipal qui ne nous garanti pas une traversée sereine, mais plutôt un plongeon assuré. nous ne l'avons donc pas empruntée et avons longé un moulin usine désaffecté








Plus loin un autre moulin transformé en résidence offrait son charme et sa beauté.

Et lorsque nous sommes revenu à notre voiture, un large camion obstruait toute la largeur de la place des Horteils, que nous avons dû croiser pour nous désincarcérer. 

Voilà donc, demain de nouvelles images, mais c'est moi qui serai imagée (mamo de controle) puis nouvelle sortie de plus de 600 km si tout va bien. Sinon, je vous dis à lundi prochain (en huit) pour de nouvelles aventures. Au revoir, portez vous bien les amis !

3 commentaires:

Misère !