Chronique d'un matin de février.

 Je vois que mes aventures du mois de février ont toujours autant de succès, alors je continue. 

Pas de givre ce matin. Pas de belles photos de ma fenêtre. Les chevaux ont changé de pré. Je les vois moins bien. Les moutons sont toujours là et le ciel laiteux promet la neige. Je suis cassée en deux et le dos me fait mal. Ce n'est pas nouveau.  Nous avons chargé, déchargé, empiler toute l'aprés midi d'hier. Il en reste encore, mais il faut en garder pour plus tard et le repos aujourd'hui ne sera pas de trop. Comme je n'ai pas d'image à vous proposer, je mets un lien, s'il vous plais visitez le. Vous saurez ce que c'était ma vie d'avant et surtout celle de mon père et mon grand père. 



4 commentaires:

  1. c'est le moment de faire des bûches et de scier du bois, mon filleul vient aussi de m'envoyer une photo de sa nouvelle tronçonneuse ;-)
    bon repos!

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    1. Et toi, alors, la tienne de tronçonneuse ? Il faudra aussi que j'élague le mien de figuier. Mais pour l'heure, j'attends que les grosses gelées soient passées. On est qu'en février. Oui, elles sont courageuses et méritantes ces vaches. Elles sont jeunes (trés jeunes, à peine deux ans d'aprés moi) mais elle ont un avenir prometteur. Bien guidées, elles feront de parfaits attelages. Salons au passage tous ces éleveurs qui ont choisit de relancer nos races traditionnelles locales de bétail assurant ainsi une bio diversité nécessaire à la préservation des espèces et du patrimoine. Partout où un éleveur se bat, c'est la nature qui gagne. Merci Adrienne pour ta visite, je savais que tu le ferais.

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  2. j'ai été voir... elles sont bien méritantes, ces bêtes!

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  3. Une raison de plus pour moi de les aimer. Bises, Adrienne.

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