Maintenant que j'en ai retrouvé un peu, je peux vous montrer quelques bribes de mes promenades passées.
Quelques balades au creux des bois, le long de la rivière et dans les prés.
Que des choses banales en sommes, avec des prises de vue que je ne trouve pas satisfaisantes. La rencontre avec mon club de photo ne m'ayant pas encore apporté de bienfait, je tâtonne en continuant de photographier n'importe quoi un peu n'importe comment, comme avant,
Un vieux trognon de pomme bien creusé, une cargaison de citrouilles divisée par 2 (il n'y en a que 3) Une fleur encore épanouie
Un lever de brumes sur la rivière
Tant de merveilles que nous donne la nature et que nous ne savons pas protéger.
J'aime beaucoup ce ruban de brume dans tes photos. Dans mes balades, mon appareil est toujours présent et je photographie tout et n'importe quoi après je trie et souvent je réussis de belles choses même si je ne suis pas une pro ;) Il faut que cela reste un plaisir avant tout !
RépondreSupprimerMerci Brigou, je sais que tu apprécie comme moi les balades et que ton plaisir est sans doute le même que le mien quand tu réussis une belle prise (que j'ai le plaisir de découvrir grâce à ton blog.)Bien sûr que cela doit rester un plaisir. C'est avant tout une passion que j'aimerai bien parfaire un peu, surtout quand je vois ce que réussissent certains avec pas plus que moi !
RépondreSupprimerJe voulais juste que tu saches que je suis passée plusieurs fois sur tes mots et tes photos. Mais j'ai la tête à l'envers en ce moment et c'est pour cela que je n'avais pas encore commenté. J'espère que ça va passer ;-)
RépondreSupprimerBonne journée encore une fois. Ton texte de ce matin me fait vraiment du bien, je l'adore!
Bonjour Ambre, je ne sais pas remettre les têtes à l'endroit, c'est dommage.Le texte dont tu parles, je crois que je l'ai écris parce que j'avais été touchée par tes derniers textes à toi et que depuis les avoir lu, un certain chemin s'est fait dans la mienne de tête. Comme quoi les expériences des autres nous guident aussi un peu. Bisous et tâche de passer une bonne journée. Comme je suis en forme, je m'en vais marcher tout à l'heure avec des milliers d'autres contre la misère qu'on nous instaure à nous pauvres vieux !
RépondreSupprimerBonjour Délia, j'avais bien compris en effet que tu allais marcher hier pour manifester, en lisant ton comm sur mon blog! Tu es très courageuse! Je ne l'ai plus fait depuis ma jeunesse et que j'espérais encore. Ce n'est pas tout à fait que je n'espère plus, c'est que je me demande, sincèrement, si cela va aboutir. J'ai l'impression d'un ras le bol général,d'une immense lassitude, d'une perte de confiance totale. Tu vas penser qu'heureusement que tout le monde ne parle pas comme moi!
RépondreSupprimerJ'ai passé une bonne journée hier, merci. Je me reprends en main. Il y a tant de situations tarribles et dramatiques de par le monde, comment s'apitoyer (longtemps) sur soi?
Je t'embrasse chère Délia, et t'apprécie plus de jour en jour.
Bonjour Ambre, euh oui,j'entends beaucoup de "ça ne sert à rien de faire... grève, manifester, se bouger, dire non..." Ton commentaire me donne envie de réagir et l'occasion de non pas me justifier, je n'ai pas à le faire, non pas de donner de leçon, je n'ai pas à le faire, non pas de juger, je n'ai pas à le faire et d'ailleurs je ne le fais pas, mais juste argumenter et démonter certaines "croyances" ; ça ne sert à rien ? Qu'importe ceux qui pensent que ça ne sert à rien, moi je pense que c'est le contraire, c'est seulement le nombre qui fait qu'on soit ou non entendu.
RépondreSupprimerJuste une question comme ça en passant, non à tous ceux qui se plaignent ils ont le droit et des raisons de le faire, mais à tous ceux qui ne font rien car ils pensent qu' il ne sert à rien de le faire : Quelle serait votre vie si tout le monde avait pensé comme vous un jour ? Vous imaginez vous sans la sécu, sans la retraite, sans vos congés payés, sans la limitation de la durée du travail sans age minimum légal pour entrer dans la vie active ? C'est vers la suppression de tout cela et la remise en cause de bien d'autres acquis du peuple et du monde du travail que jupiter et son équipe de voyous patentés sont entrain de nous conduire. Alors ne rien faire, pour moi c'est impossible, déjà, et ce n'est surement pas la solution. Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent. Cela n'a rien à voir avec un quelconque courage. Ce qui est sûr aussi c'est que c'est entrain de contribuer grandement à l'accroissement du nombre de situations dramatiques ! Même s'ils nous disent qu'en diminuant de moitié le seuil minimum de pauvreté, on réduira le nombre de pauvres (au passage c'est ce qu'ils sont entrain de mettre en place).
Alors quel monde on veut, pour nous, pour demain, pour nos enfants et les générations futures ? Celui de robots soumis et lobotomisés ? Où celui d'être intelligents, épanouis libres et ayant les moyens de vivre dignement, de se cultiver, se soigner et subvenir à leurs besoins et ceux de leurs familles, dans un monde sans violence, sans haine et sur une terre propre et accueillante ?
Ce sont des questions que nous devrions tous nous poser, en particulier les jeunes générations. Ne pas se laisser submerger par la vague individualiste du chacun pour soi et reconstruire des solidarités. Le dire n'est pas une offense, c'est je crois une nécessité.
Je te souhaite une belle journée