A demain, peut être.

 Coucou les amis, pour vous dire qu'aujourd'hui sera un jour sans et ce jusqu'à nouvel ordre.  3 SMS reçus hier soir me confirmant qu'on aura la fibre ce jour, (19h 36 pour 14 h ; 19h45 pour 12 h ; ce matin 8h 35 pour 12 h ) si avec ça on ne l'a pas, c'est qu'il devra falloir changer de porte agrume. Mais l'expérience qui n'est pas que la mienne, montre que entre les promesses et leur concrétisations, le pas n'est pas toujours franchi. 

Bien. La semaine prochaine, je pars quelques jours, je vous dis donc à .... ?  Demain peut être.

Un peu de détente.

Un peu de détente avant mon nouveau coup de gueule, ( vendredi l'orange préssé  vient nous installer la fibre, entre 14 h et 20 heure, au départ le rendez vous était prévu pour le 28 mars entre 8 et 12 heure). Voilà, ça commence déjà mal. 

Sinon, aujourd'hui, rendez vous ophtalmo pour la grand mère. C'est moi qui lai conduite à son rendez vous. Impossible de se garer, j'ai du faire plusieurs fois le tour avant de trouver une place, il y a des travaux partout et l'accés au parking était bloqué, et ce depuis le 7 avril ! (c'était mon jour )Tout va bien. Elle a dormi chez nous, hier, car elle avait rendez vous ce matin et elle habite loin. Je l'ai raccompagnée chez elle tout à l'heure et j'ai un peu musardé en rentrant. Il faisait beau. il y avait longtemps que je n'avais plus vu mes petites vaches, aussi, j'ai fait le détour. Elles n'étaient pas dans le pré habituel où je peux faire des photos de proximité. A la place, il y avait les chevaux. (c'était mon jour)




J'ai donc remonté le petit chemin que j'avais découvert la dernière fois et qui permet d'approcher de la ferme. Elles étaient bien là. Un peu loi, mais je suis contente, je les ai vues. 



Au passage j'ai cueilli  photographié des violettes 
et puis je suis rentrée. La cuisine avait pris un tour de plus. 
Pas mal, non ? Je vous montrerai quand ça sera terminé. 
 

Casse toi rama.

 Décidément ! une enseigne que je ne vais pas regretter, ce brocobordel de casse toi rama.

N'allez plus chez eux ! que des menteurs, des voleurs et des arnaqueurs, ma parole !

Nous y sommes revenus ce matin, histoire qu'ils nous rendent des comptes qu'ils nous avaient pris. Vous vous souvenez de notre  faire avoir, la dernière fois. Je vous raconte la suite. Histoire de ne pas perdre notre dû, nous avons regardé si par hasard, il n'y aurait pas dans quelques rayons, une bricole ou deux qui fasse la maille. Et bien, il n'y en avait pas ! ou alors des trop moches et des bien trop chères. Si bien que nous avons quand même acheté des produits d'entretient plus chers qu'ailleurs mais qu'on ne trouve qu'ici. Le solde n'y étant pas bien sûr. J'ai râlé. L'indécence ne les a pas étouffés. La gentille caissière qui n'y était pour rien dans tout ça mais qui était parfaitement à l'écoute ne nous fera pas pardonner l'incompétence et la goujaterie de sa collègue hôtesse d'accueil qui n'avait aucun professionnalisme et encore moins de notion de correction et d'accueil comme son grade nous le laissait éventuellement supposer. Dés mes premières paroles, elle tenta de me convaincre de leur bonne pratique, sans écouter mes arguments. Voyant que j'insistais pour dire ce que j'avais à dire, elle me tourna le dos en s'exclamant :" puisque vous n'écoutez pas ce que je vous dis, au revoir". C'est donc en haussant le ton que je fis profiter les autres clients à la ronde, de ma façon de penser et qu'elle a entendu, même en se bouchant les oreilles, ce que j'avais à dire. Je ne sais pas ce que les autres personnes présente lors de cet échange auront pensé. Déjà que la personne précédente semblait pas trés satisfaite non plus, je pense qu'effectivement quand on n'a ni le professionnalisme, ni les compétences, ni la marchandise, pour fidéliser la clientèle, avant de plier boutique (ce que l'enseigne en question s'apprête à faire pour 30 de ses succursales) et faire des avoirs limités dans le temps (3 mois, quand même !!) pour le reste du temps ! Aller, casse toi avec ton ramage !

A la bonne blague.

 Mardi, on était bien le premier avril. Je vous le confirme et ce n'est pas le Patou qui viendra dire le contraire ! Je n'ai pas eu le temps de venir vous voir depuis la dernière fois et aujourd'hui, j'ai failli en faire de même. Malheureusement, depuis hier, je ne me sens pas bien du tout. Je n'irai donc pas marcher tantôt d'un pas décidé avec mes camarades, leur laissant de continuer sans moi de porter haut et fort les couleurs de notre drapeau, nos banderoles et nos soucis communs à monsieur le préfet qui ne les entendra pas. 

Donc mardi 1er avril, la deuxième étape de notre périple cuisinal étant achevé, nous, enfin, le Patou, toujours, voulu entreprendre la troisième étape. Mais un contre temps imprévu l'en a empêché.

 



Voilà que durant la nuit, un radiateur se mit à fuir. Ah se dit le Patou, contrit, il va falloir y remédier. Laissons là ces foutus travaux et courrons à "casto", y dépenser des sous. Eux, n'attendaient que ça. Et voilà le Patou à peine rentré dans le rayon, qu'il ressortait, vaillant prêt à devenir plombier, avec le dernier radiateur présent en rayon et du stock du magasin. Malheureusement, celui ci était plus grand que le présent. Il fallu chercher dans le stock personnel, mieux achalandé que celui d'un magasin de bricolage de notre époque contemporaine.  Une fois, les coudes adaptés, les tuyaux recherchés, il commença à réaliser les adaptations nécessaires. Et là ! paf, je vous le donne en mille, le radiateur prêt à poser était, félé ! et en plus c'était le dernier, le seul, l'unique exemplaire. Bref, il remballa la marchandise défectueuse et retourna chez le dit fournisseur déchalandé. On lui fit un avoir plutôt que de le rembourser, (je ne vais pas dire que ça fait pareil et que ça produit le même effet, mais pour chauffer les oreilles, c'est pas mal non plus. Surtout quand on apprend deux jours aprés, que ... peut être, des succursales de cette  enseigne vont mettre la clef sous la porte ! elles seraient au nombre de 30, avec un peu de bol, celle de chez nous sera concernée ! Je vous le dis, c'est une blague !

 A force d'être des moutons, ils nous prennent vraiment pour des pigeons.



  

A demain, peut être.