A la recherche du temps perdu. Et pas que.

 Pendant que le Patou attendait que le contrôle technique de sa voiture soit terminé, nous avons, lui et moi, tenté de capter quelques souvenirs de l'endroit tel qu'il était avant la construction de la mini zone industrielle et commerciale où se situe le centre de contrôle ainsi qu'un garage, un marchant de matériaux et un super marché, le tout dans un mouchoir de poche où se trouvaient il y a longtemps, champs, prés arbres et végétations où papillonnaient oiseaux et insectes à foison. Les maisons lui faisant face abritaient gens et animaux, vaches, moutons, volailles etc.... Je me suis dit qu'il fallait absolument que je revienne découvrir ce nouveau patrimoine de plus prés. On verra plus tard. 

Nous sommes allés ensuite chez un réparateur de matériel agricole, situé à une 20taine de km, prendre des nouvelles d'un outil de jardinage, laissé en réparation depuis septembre dernier. Savoir si nous allions pouvoir nous en servir cette année ou dans 10 ans ? car d'aprés le réparateur, il ne trouve pas de pièce pour le remettre en état. Obsolescence programmée oblige, on nous culpabilisera sans doute encore longtemps avec le tout jetable que nous achetons trop souvent. Par choix, qui n'est pas le notre, bien entendu. 

J'en ai profité pour aller à la rencontre de mes vaches préférées, mais hélas, n'en ai vu que 2. 



Ne pas savoir ce qu'étaient devenues les autres m'a contrariée au point que j'ai eu du mal à trouver le sommeil. J'espère qu'elles étaient dans un autre pré, non visible de l'espace public. Sinon, je trouverais trés triste et même inhumain qu'elles aient disparu et que je ne les vois plus. Elles étaient là début avril, encore. mais il se passe tellement de mauvaises choses en si peu de temps. 

 Je les ai cherchées en vain, dans les prés où je sais qu'elles vont parfois pâturer. Est il possible qu'un si joli troupeau fut décimé ? Je rêve depuis toujours d'un monde sans cruauté. 

Douce nuit.

 Alors avez vous trouvé où j'étais hier en soirée ? 

La Ponette m'ayant conviée au plus grand des petits festivals, nous avons pu nous délecter d'une belle soirée et début de nuit étoilée. C'était chouette. Tout d'abord, il y a eu ce spectacle de Govrache, en bleu de travail 

Un pur bonheur  ce spectacle. Tout en slam, tout en douceur, malheureusement bien trop court à mon goût. A ne pas rater, si l'occasion se représente. 

Et puis cette ambiance festivalière qui contribue à la légèreté et au bonheur  ne serait ce que d'un instant. 

La soirée complétée par une série d'artistes à apprécier en salle ou en studio, mais pas sous chapiteau, où le bruit d'une sono mal réglée occulte les chants et textes qu'on ne risque pas d'entendre sur les ondes maléfiques de qui nous savons. 

J'ai terminé la soirée, assise sur un mur  un peu loin du bruit, tellement je souffrais physiquement d'être debout et d'avoir mal au coeur.  Dommage, mais il faisait bon et la nuit était douce. 


Souriez, vous êtes filmés.

 Gris plus et maussade plus ce matin, en ce jour d'ascension, le jour ne prend pas la pente dans le bon sens on dirait !

C'est pourtant important qu'il se lève, même tard, car ce soir on va voir un spectacle avec la Ponette et je ne voudrais pas que ce soit arrosé. Aprés, d'accord, si ça veut, mais pas pendant. Vous nous imaginées, toutes deux, tremblantes au bout de la table, frigorifiées et trempées comme des soupes ? 


En attendant, je vous partage quelques images de notre balade avec Romain, hier. Balade nostalgique a t il dit à sa grand mère en rentrant. Nous avons eu beaucoup de mal à reconnaitre les lieux tant ils ont changés en plus de 20 ans. Passant devant chez Aymé, nous n'avons pas vu le hangar devenu maison d'habitation, ni la maison où il habitait avec Marcelle son épouse, une immense haie de thuyas cachait l'empreinte des jours anciens. La maison de la mémé Marguerite qui servait de commerce d'épicerie a été vendue. Des gens ont racheté tout le corps de bâtiment, l'atelier  et la forge du grand père, devenus la maison de DD, la maison de tante Jane, le couderc attenant,  celle de Jean par derrière, tout a été revendu,  remanié, rénové, construit. Ne reste rien de cette enfance si éphémère qu'elle nous fait regretter le temps qui passe. Mais c'est la vie, un temps fini, un autre surgit. Où sont passés les jardins ? Les granges et les étables . Ne reste rien de nos lointains souvenirs.



  Des caméras sont accrochées ici et là aux pans de bâtiments seulement habités quelques semaines par an. Les autochtones, eux déplorent cette débauche d'artifices qui ne sert qu'à intimider voir persécuter le riverain sédentaire. 

Les lieux, mais pas qu'eux, les mentalités aussi ont changées. Autrefois village tranquille et solidaire, le voilà devenu tour de contrôle où soupçons et inquisition sont partout. 

Joli ce petit hameau avec ses vieux murs en pierres sèches, ses puits et ses fontaines à chaque coin de chemins creux  où pas une âme ni ne vive, ni ne passe. 





A l'allée, nous avons musardé un peu, cueillant au passage quelques unes des premières cerises, juste avant que n'arrive le propriétaire du champ, venu tondre la pelouse devant la maison. J'en ai profité pour prendre en photo un magnifique coquelicot sur le bord de la route. 


Ce fut néanmoins, une belle journée. 

Déçue.

 Je suis déçue !

Chez ma fille, elle ressemblait à ça :
Il est vrai qu'elle n'est pas isolée comme une malheureuse dans un coin  ! Elle n'est pas encore fleurie et toujours en boutons. J'espère que celle de Fabie sera aussi belle que  celle ci.

Par contre ma République de Montmartre ! 

 comme les autres :
Il faudrait vraiment que j'organise ce jardin. Hier nous avons seulement nettoyer le mobilier d'extérieur, au karcher, comme chez le petit Nicolas (pas le jardinier, l'autre !)

Inauguration bis

 Hier, comme vous avez pu le constater, c'était le fête des mères, fête pétainiste s'il en est et devenue surtout commerciale, au point que j'ai cru que c'était le dimanche d'avant, tellement il y avait de monde avec des fleurs au sortir des magasins. Hier c'était avant le premier jour depuis Noël où nous étions tous réunis à la maison. Mes enfants étaient là tous les deux, lui parce qu'il est d'anniversaire vendredi, pour les 40 ans d'un ami, et qu'il a profité de la semaine de l'ascension pour poser des congés et sa petite soeur, pour être avec lui, car c'était le seul jour où elle pouvait, car elle avait travaillé la nuit et travaille aussi toute la semaine. Arrivée en sortant du boulot avec une magnifique plante 


 Nous avions aussi convié la grand mère qui ne voit pas souvent ses petits enfants, comme toutes les grand mère et m'avait offert un beau bouquet,

. Nous avons aussi profité de l'occasion pour inaugurer la nouvelle cuisine puisque c'était la première fois qu'ils mangeaient à la maison depuis la fin des travaux de rénovation. Nous n'allions pas bouder notre plaisir d'être ensemble non plus même si Pétain avait décrété un jour qu'il fallait fêter les mères à qui on devrait de repeupler la nation qu'il avait lui même contribué à détruire en envoyant ses fils à la guerre. 

Voilà, ça c'est dit, on va pouvoir passer à autre chose. Nous allons devoir nous occuper de notre station d'épuration. Gros problème concernant le traitement des eaux usées. Nous ne sommes raccordé à aucun dispositif de traitement collectif. Vu l'empressement de la municipalité pour entretenir le chemin communal qui nous dessert, truffé d'ornières et de nids de poules que pas même un renard ne peut emprunter  (lui passe par les prés).

Nous avons donc exploré en compagnie de Romain,  les diverses possibilités que nous aurions en  faisant le tour du jardin. Naturellement cela intrigua le voisin, toujours prompt à espionner de prés ou de loin, ce qui se passe plus loin que son devant de porte. Ne voyant rien il décida de profiter de la nuit venue pour une exploration  de proximité plus pointue. Mais des obstacles encombraient le passage sur la plate bande herbagée, là où aucune trace n'aurait pu être détectée. C'est ainsi qu'au petit matin, nous retrouvâmes tout ce qui était posé sur la bordure, en vrac au milieu des cultures ! Si c'est pas signé ça ! Je ne vois pas d'autres explication à tout ce désordre, et comme il est coutumier de la chose, il n'y a que celle ci. 

Avec des gens pareils, comment voulez vous que Pétain ne soit pas remis en selle et à l'honneur ?

Le corbeau et le renard

 Pendant que le prétendu sauveur du monde, sieur président des USA, réécrit la fable du loup et l'agneau à propos de l'Afrique du Sud, nous avons assisté hier, nos voisins et nous à une revanche de celle des corbeaux et du renard. Je vais vous en conter l'affaire en quelques lignes. 

Nous avons au village, une voisine qui possédait un petit cheptel de poules et coqs qui nous ravissaient de leur chants matinaux. Enfin, moi, surtout. J'adorais entendre les Chanteclair père et fils nous donner l'aubade, en choeur ou à tour de rôle, pendant que j'oeuvrais dans mon jardin.  Les 3 emplumés d'un beau plumage n'étaient pas moins fournis côté ramage.  Leur entrain n'avait d'égal que leur générosité. Si bien que par le son alerté, maitre renard se rendit au poulailler, semant la panique à bord du volier. 

Il s'empara  promptement du plus beau spécimen et le porta à ses enfants. Sa besogne amorcée, il s'en revint sur ses pas, voir si plumes restaient encore à tripoter. Il en saisi quelqu'une et affola toute la galerie qui s'éparpilla à grands cris, dans les champs et les prés où du haut de leurs perchoirs,  une douzaine de pies d'un commun accord se précipitèrent sur ces proies qui se demandèrent pourquoi, tant de haine et tant d'acharnement, alors que de leurs oeufs, elles les avaient grassement nourries jusqu'à pas plus tard que la dernière nuit. 

Maitres corbeaux dans leurs arbres perchés, se souvenant alors de vieilles histoires apprises par choeur à l'école du lundi, se dirent aussi qui si leur grand père était encore en vie, il ne manquerait pas de faire un fromage avec tous ce barouf  par les pies émis. Trouvant là une belle occasion d'une revanche à prendre sur un renard pourtant aguerri. 

S'élançant à tire d'aile sur le troupeau de pies, ils remarquèrent une poulette dont ils s'emparèrent sans merci à grand fracas de craillements et de croassement, laissant le pauvre corps sans vie, d'une  poule sur le flanc  au beau milieu de l'aire d'atterrissage du vol noir ennemi. Entendant tous ce bruit, le voisin sortit de chez lui, ce qui eut pour effet de faire fuir les charognes aussi vite qu'elles avaient bondi.  

Moralité : à malin, malin et demi, il ne faut jamais se dire que tout est écrit d'avance, tant que l'histoire n'est pas finie !

OK, Vive la Rose.

 Il serait peut être temps que je revienne mettre un peu d'encre sur ce blog, non ? Malgré le temps pourri qui était annoncé, il fait trés beau et je me régale de mes rosiers. 1) pour les excellentes confitures qu'ils me permettent de fabriquer (surtout celui là) 

Les dernières en date, faites le 10 mai 2025, jour de la commémoration de la prise de la Bastille par François Mitterrand. 

et 2) pour leurs magnifiques couleurs, leur taille effectuée en partie par la Ponette leur a été bénéfique. Ils sont beaucoup plus fleuris et les fleurs bien plus jolies que quand c'est moi qui y touche. Seraient-ils susceptibles ? 








Et puis grâce au trés mauvais temps annoncé, nous avons pu constituer notre potager. Poireaux, tomates, courgettes, potirons et salades ont pris place en attendant que lèvent les haricots et naissent les pommes de terre. Nous avons aussi taillé quelques bordures et rosiers au passage (dommage celui ci était si beau !)


J'ai galéré pour trouver des produits de bouturage, la poudre de perlin pinpin n'existe plus ! m'a dit la vendeuse de chez jardimachin. A cause de l'interdiction du glyphosate, m'a -t- elle assuré. En effet, les produits que nous utilisions, nous petits jardiniers de pacotille, sont interdits à la vente, sauf si on fait parti de la grande profession agro-alimento-industrillalo-capitaliste, nous, on ne pollue pas à une assez grande échelle.   

Bref, j'ai tenté quand même de redonner vie à cette pauvre branche. Ah lala ! c'est bien du malheur, quand même !

Autrement, nous avons inauguré notre cuisine vendredi, avec un couple d'amis. J'ai voulu innover avec une spécialité culinaire que je ne maitrisais pas du tout. Et bien c'était raté ! et dégueulasse qui plus est. Sauf que poliment, eux on dit avoir aimé ! Allez comprendre ! Il s'agissait tout bonnement d'une espèce de verrine fabriquée avec des pâtes microbilles, du jus d'orange, du persil et des tranches d'orange. A l'origine, les pâtes sont remplacées par du quinoa, mais je déteste le quinoa, j'ai donc essayé autre chose, pouha ! infâme !

Je ferais mieux la prochaine fois. 

Et puis aussi, pour nos amis Montmartrois, j'ai acheté l'automne dernier, un superbe rosier 

: La République de Montmartre ! 

Evocation pour moi, de ce quartier où j'ai longtemps vécu à l'ombre des murs du central téléphonique du même nom, que j'ai eu tant de peine à le quitter et qui a forgé  mes meilleurs souvenirs professionnels, ma vie de militante et bien d'autres choses encore. 

La République de Montmartre, à deux pas, c'est là que nous nous retrouvions avec les copains pour un casse croute improvisé, pour une réunion de grévistes, ou pour un café avant de partir tous ensemble à la manif !

La parenthèse enchantée

 Bon, ça y est, on a un nouveau pape depuis hier. Heureusement que c'est pas Macron qui l'a nommé celui là, parce que sinon on aurait dû attendre un moment !    Parlant de Macron, hier, jour de commémoration de la capitulation de l'Allemagne nazie, on a eu droit à une déclaration de son délégué auprés des citoyens que nous sommes, en la personne de monsieur le maire de notre commune. Je fus tout de même un peu surprise, en l' entendant, du discours de la part de quelqu'un qui prépare la guerre comme il le fait. Quand l'édile eu terminé avec la macronade, il y est allé de son propre couplet, n'oubliant pas au passage  de rendre hommage aux soldats américains, mais  négligeant  de parler des millions de morts de la Russie, qui fut cependant le pays qui en paya le plus lourd tribu. Idem, s'il parla bien de la Shoa, il omit prudemment de mentionner les milliers de morts, résistants communistes et autres syndicalistes engagés pour la paix et la liberté.  

Quoi qu'il en fut, nous avons  tout de même passé une belle journée, peu arrosée, si ce n'est de quelques gouttelettes nous chassant de notre havre de verdure où nous avions pris place au restaurant "La Parenthèse", pour l'anniversaire du Patou.


Gagnant l'intérieur de la salle, le décors était tout aussi délicieux que le repas.



Chemin faisant, nous avons partagé une agréable petite promenade digestive en compagnie du chien Felow, trés content de nous retrouver. 












Il faisait presque beau c'était un temps idéal pour la photo, pour marcher et profiter de ce que la nature nous donne si généreusement, du bonheur du temps présent, que l'on a apprécié, on n'a  guère besoin de plus pour être heureux, si on savait !
Et c'est ainsi que chemin faisant, c'est achevé une excellente journée.


Dépliant touristique, la Haute Vienne

 Et bien, ça y est, la table est prête pour l'inauguration de la nouvelle cuisine. 


Petit clin d'oeil, comme ça en passant, mais avant, elle va servir encore, demain c'est le joyeux anniversaire du Patou. A la question de sa fille, hier, qui était de savoir ce que j'avais prévu pour l'anniversaire de papa, j'ai répondu :"rien du tout". C'est tout naturellement qu'elle m'a proposé un resto. Ce qui m'a bien arrangé car franchement, je n'avais pas envie de recevoir demain. Je suis fatiguéeeee !  faire les courses d'abord cuisiner ensuite et savoir quoi mettre sur la table ! c'est bien beau qu'elle soit belle, mais faut savoir quoi mettre dessus ! et puis je ne savais pas si elle serait disponible et si elle voudrait venir à la maison, elle a travaillé toute la semaine, WE et 1er mai compris, c'est pas drôle. Alors tout seuls, c'est pas motivant.  Surtout qu'aprés faut encore faire la vaisselle, ranger et tout et tout ! 

Pendant que le froid s'installe, un peu de chaleur humaine sera appréciée. Le resto, c'est parfait et puis on n'y va jamais, nous, au resto. 

Sinon, je continue ma cueillette de fleurs de rose, mais elles ont des pucerons, va falloir traité, cela compromet mes confitures, GRRR ! (bicarbonate, savon noir et vinaigre blanc ?)

Les patates sont en cours de plantation, le jardin va être trop petit, je crois bien. 

 Et puis,  il faudra prévoir de revenir en Auvergne, ça me botte vraiment,  j'espère qu'il fera meilleur et que Petit Lion se tiendra tranquille ! ça c'est pas gagné ! Faudrait que je le mette en pension, mais où ? 

Sinon, je vous propose quoi, aujourd'hui ? 

Une visite guidée, tient sur les chemins creux du Limousin.

Rochechouart son château et ses vaches



Aureil et sa croix de St Gaucher (et oui, les gauchers ont un saint !)


Saint Paul et son camp de déportés (demain on est le8 mai) et aussi ses pacifistes qui décorent leur maison avec un symbole de paix (c'est important de le souligner)


Aureil encore, et son chêne mal élevé


Saint Léonard et son pont de Noblat


Saint Priest Thaurion et son viaduc de chemin de fer


Saint Léonard, toujours et son abbatiale romane


Bosmie l'Aiguille et sa dame de champs (c'est pas moi, la dame des champs !)


Chalucet, son moulin et les ruines de l'ancien village 


Le château de Montbrun, sur la commune de Dournazac


Le village de Brie
et son château


prés de chez moi sur le chemin dit des chevaux (Le Breuil) 


La mairie de Feytiat


Le lac de Vassivière


Le pont de Seinouex (en Creuse, tout prés de Vassivière, enfin pas loin, quoi !)


Montrol Senard  son école et la maison du cordonnier


mais aussi, le joli village du Mesonniau avec ses vielles maisons et ses puits remarquables
les vaches de la Genette, tout prés 


Le château de Château rocher (c'est en Charente, toute proche)


Les bords de Vienne à Aixe sur Vienne


La lande de Frochet prés de Bussière Boffy dans le nord du département


Un pont médiéval perdu en forêt , sur le Vincou, prés de Bellac


Le moulin du Gôt prés de Saint Léonard de Noblat


La chapelle Saint Aurelien et la rue de la Boucherie, à Limoges


Solignac son pont médiéval et son abbaye


les bords de Vienne à Limoges en rive gauche


Solignac avec ses remarquables constructions datant du moyen âge


la sublime gare de Limoges


Ses troupeaux de Limousines


ses carrières de serpentine


ses abris bus pittoresques
c'est tout ça le Limousin, mais pas que, il y a la porcelaine, les pommes, les émaux et plein d'autres choses à voir. Voilà c'était pour le beau !  et bien bonne visite, donc.

  

Je n'ai plus 5 ans.