Les mots

 Il y a ceux que nous employons et aux quels on donne du sens. Il y a ceux que nous lisons et dont nous ne comprenons pas toujours le sens. Il y a ceux que nous entendons et qui n'ont souvent pas de sens. 

Il y a ceux dont le sens caché nous trompe et dont nous nous drapons comme dans un cocon pour nous masquer de la réalité inavouable dont nous pensons nous  protéger.

Les mots nous fascinent. les mots nous dessinent. Mais parfois les mots nous assassinent.

Pourtant tous les mots ont un sens. Ainsi en cette période troublée, il nous faut aller chercher ce qu'on a voulu nous cacher. Décryptés, analysés, on se rend compte alors qu'ils n'ont pas tout à fait le sens premier qu'on leur avait prêté.

Nous sommes en guerre ! Ah oui ?  mais pourtant nous n'avons pas pris les armes ! contre qui alors ? Contre un virus ? Mais  un virus n'est pas un soldat, il n’obéit à aucun chef de guerre, il n'est pas discipliné, il ne se comporte pas de la même façon qu'une armée. Cela n'a pas de sens  ! Alors à qui fait - on la guerre ? Et bien à vous pardi ! à vous peuples innocents, peuples endormis, peuples dessaisis de vos prérogatives. Peuples qu'on enferme, peuples  qu'on méprise, peuples qu'on empêche de vivre, de travailler, de respirer, d'être libre, d'aimer  de se divertir, de se nourrir même  pour au moins un quart de la planète mais plus surement beaucoup plus. Peuples sacrifiés, peuples, exploités, peuples martyrisé, peuples massacrés. Peuples ô peuples quand allez vous vous révolter ?  Vous libérer ? Ils ne sont qu'une poignée de multimilliardaires  pervers à vous asservir, à vous esclavagir, à vous détruire, minoritaires mais avec l’assentiment des démocraties modernes dont la notre de plus en plus autoritaire. Réveillons nous collectivement avant que nous ne puissions plus rien. Avant anéantissement total des moindres velléités. 

 Et vous qui parlez sans cesse de zone de confort, n'ayez plus peur de sortir de la votre, osez la révolte face à la main mise de tous ces dictateurs de tous poils qui vous endorment, vous cloisonnent, vous mutilent jusqu'à vous lobotomiser. Tenter la réflexion plutôt que l'écoute béate de vos chaines de télé. Soyez un peu critique face à cette soupe que vous subissez. 

Les mots ont un sens.  Ils ne sont jamais employés par hasard par ceux qui vous les présentent tout brodés.

La guerre, ils nous la font et si nous ne combattons pas, nous ne sommes pas prêts de l'enrayer. Encore moins de la gagner.

Le couvre feu ils nous l'impose par petites couches diversifiées suivant les territoires avant de le généraliser. 

Le confinement dont certaines sources bien informées nous indiquent qu'il sera bientôt de retour, basé sur des soit disant tests dont on peu légitimement douter de la fiabilité, quand on sait que de 40%  à 90% sont faux !

L'isolement, aprés la distanciation  sociale, ils auraient pu la baptiser distanciation physique, mais ce n'était pas le vrai sens qu'ils voulaient lui donner, il s'agit bien de distanciation sociale quand les effets  s'appliquent à détisser tout le tissus d'une société. Et c'est bien ce à quoi ils voulaient aboutir plutôt que de se préoccuper de notre santé. La fermeture des lits dans les hôpitaux, la suppression de nombre de postes de soignants et la pression exercée sur ceux qui sont en première ligne, sont là pour en attester. Tout comme la mascarade orchestrée autour des moyens alloués aux services de santé des masques aux produits de désinfection en passant par les machines et les médicaments dont l'efficacité n'est plus à prouver.

L'isolement et la distanciation familiale, à présent. Ne nous ont-ils pas assez coupés de nos vieux parents, maintenant c'est toute la cellule qui est concernée.  Nos enfants qu'on empêche de respirer aprés avoir clamé haut et fort qu'ils ne pouvaient pas contaminer.  Qu'on empêche d'étudier, de se divertir et même de travailler quand de confinement en restrictions et reconfinement on force commerces, entreprises secteurs aprés secteurs  et toute l'économie de fonctionner.

La précarité généralisée pour la moitié au moins de la population.

Tous ces mots durs de sens et lourds de conséquence. Vous les entendez ? C'est pour mieux vous en imprégner, pour mieux vous y habituer. Pour que vous les apprivoisiez. 

Moi, je ne veux pas les apprivoiser, alors je les combats avec mes modestes moyens, avec mes mots et mes mains nues, qui sont les seules armes dont je dispose et que je peux encore utiliser.

Je les combats avant qu'il ne soit trop tard, car  si nous n'y prenons garde, bientôt une partie de l'humanité sera détruite puisqu'ils l' auront  laissée mourir de faim, de froid ou de chaud, de soif, de maladie et de misère, l'autre fichée, pucée, vaccinée, étant réduite à l'esclavage, puisque c'est le but qu'ils se sont fixé, les multimilliardaires  qui dominent le monde avec à leur solde tous les gouvernants complices de leur perversité.

Il existe aussi les mots lutter, se révolter, et déjà réfléchir et s'informer.


4 commentaires:

  1. "Les maux", seraient plus justes, comme titre !
    pour toi♫♫♫
    Et cette chronique aussi...

    RépondreSupprimer
  2. Les saltimbanques, que de fois ne les a -t-on pas entendu au cours de nos périples protestataires ? Quand la prochaine manif ? Merci pour ce moment de délire avec Waly ! je ne connaissais pas, je viens de découvrir un bijou saignant de vérités enrobé de beaucoup d'humour.

    RépondreSupprimer
  3. Un très beau texte que j'approuve totalement. Ne nous laissons pas gagner par la peur. Il faut résister. En ce moment je suis à Perros Guirec. Sur le chemin côtier le port du masque est obligatoire. Quelle connerie.....On n'a plus le droit de respirer l'air du large! Pourtant c'est bon pour la santé!

    RépondreSupprimer
  4. Merci Daniel. Encore un exemple qui vient conforter l'idée que le but est bien de nous emprisonner dans la peur, et de nous faire croire qu'on est en danger face à l'autre, mais surtout pas de nous protéger.
    Et dire que je m'apprête à aller là bas d'ici la fin de semaine. J'éviterai Perros, alors !

    RépondreSupprimer

La tarte à la "belide"