Le Patou passe la tondeuse
La Bécassine étend son linge
Et moi bien courageuse
j'ai cueilli les roses du matin
C'était les dernières avant l'orage
La pluie les a, toutes sauvages,
Froissées, ridées comme vieux singe.
Il n'y a plus dans mon jardin
Qu'une illusion et qu'un mirage
Celui d'avoir encore l'image
D'un beau bouquet dans un écrin.
J'aime quand tu parles en poésie !
RépondreSupprimerCela te va bien !
ouais... enfin...
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